Bandeau
mcInform@ctions
Travail de fourmi, effet papillon...
Descriptif du site
RFPP
FPP en danger (et Radio RESF avec) : appel à dons
Article mis en ligne le 28 décembre 2012

Les politiques successives de subventions aux associations ont amené à la suppression de certaines subventions octroyées au radios associatives.

Les subventions sur projet, gérées par les conseils régionaux n’échappent pas aux politiques d’austérité et de désengagement de l’État.

Par ailleurs les subventions sur projet, leur attribution ou pas, ne sont pas exemptes d’un regard et d’un choix politique.

De ce contexte politique découle notre situation financière préoccupante, aggravée par les retards d’encaissement de la subvention d’aide à la diffusion, et les frais supplémentaires dus au rachat de notre émetteur.

Nous lançons une campagne d’appel aux dons et soutiens, et nous le faisons savoir à nos fidèles auditeurs.

Sans un apport financier certain, l’existence de notre radio, de votre radio sera remise en cause !

Alors, pour la première fois depuis notre existence, nous faisons appel à vous !

Alors si vous nous écoutez, nous suivez, faites partie des artistes que l’on reçoit dans nos émissions musicales, des intervenants qui viennent s’exprimer dans nos émissions culturelles, sociales ou politiques, faites savoir autour de vous que la "Voix des Sans Voix", risque la plus grave des maladies : L’extinction...

Pluriellement

FPP (...)

Grâce à la radio « <http://www.rfpp.net/> Fréquence Paris Plurielle », RESF tient, depuis presque six ans, sa chronique hebdomadaire, « <http://www.educationsansfrontieres....> RESF sur FPP » sur 106.3 en FM à Paris et proche banlieue, « Radio RESF » sur notre site. La seule contribution que demande FPP, qui est une radio associative est une cotisation annuelle de 100 ¤ (que j’acquitte personnellement à titre d’impôt solidaire volontaire).

Bien sûr, notre émission n’est « pas parisienne » : pratiquement à chaque émission, nous recevons et diffusons des appels téléphoniques des collectifs et militants de province, et des directs ont été réalisés, toujours par téléphone depuis Mayotte, la Guyane, l’Italie (en particulier Lampedusa), le Maroc, l’Algérie ou la Tunisie, ou de jeunes expulsés ont pu parler. De nombreux reportages ont également été réalisés un peu partout en France et en Belgique. (...)