
Suite à nos précédents articles (Lire : « Daniel Mermet ou les délices de l’“autogestion joyeuse” » (Article 11) et Lire : réactions à l’article d’Olivier Cyran sur Daniel Mermet et « Là-bas si j’y suis »), nous publions ci-dessous, comme nous l’avions fait lors de précédents conflits [1], un texte de réponse de Daniel Mermet (consultable sur le site (non officiel) de l’émission), bien qu’il ne nous ait pas été directement adressé. (Acrimed)
Des auditeurs nous interrogent régulièrement sur le fonctionnement de notre émission, condition de travail, rémunérations, contrats, précarité, responsabilités...
Beaucoup d’erreurs préjudiciables à l’émission et à l’équipe circulent en effet, y compris à Radio France. Des syndicats ont ainsi publié des articles sur Là-bas qui dénotent une méconnaissance de nos conditions de travail.
Notre entreprise est divisée en autant de « catégories de personnels » qui souvent ignorent le fonctionnement des autres catégories, et notamment des cachetiers qui collaborent à la partie « programme » de France inter, ceux qu’on appelait hier « les saltimbanques ».
Afin de limiter malentendus et rumeurs, une mise au point nous semble utile sur la situation et le fonctionnement de Là-bas.
1 - CONCLUSIONS DE L’ENQUETE DU CHSCT
« Le dossier est vide, Daniel Mermet n’a pas franchi la ligne rouge » (...)