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Même si tout le monde s'en fout, il faut tout de même prévenir...
Pour cet été, avec l'épidémie de variole du singe qui progresse, outre la protection respiratoire, il ne faudra pas oublier la possibilité de transmission par contact direct/indirect...— Claude-Alexandre GUSTAVE (@C_A_Gustave) May 27, 2022
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Le virus Monkeypox appartient aux groupe des Orthopoxvirus.
Il possède une enveloppe lipidique qu'il suffit de détruire pour l'inactiver.
Et l'alcool dissout très bien les lipides, et détruit donc facilement l'enveloppe du virushttps://t.co/VOrALI7ed3 pic.twitter.com/IddkxeR8nC— Claude-Alexandre GUSTAVE (@C_A_Gustave) May 27, 2022
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Attention, ce n'est pas toujours vrai.
Par exemple, le virus de l'hépatite B conserve son infectivité même si son enveloppe est détruite.
Il faut alors une décontamination à la javel (chlore) pour détruire également sa structure protéique.— Claude-Alexandre GUSTAVE (@C_A_Gustave) May 27, 2022
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Et plutôt à l'attention des restaurateurs/hôteliers...
Les recommandations de décontamination des surfaces/environnement, peuvent être utiles si jamais les ARS vous signalent un cas parmi vos clients (très probable pour cet été) :https://t.co/KRpnudfFBk— Claude-Alexandre GUSTAVE (@C_A_Gustave) May 27, 2022
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« Les procédures exactes seront déterminées avec les Etats membres au cours des prochains jours », a indiqué l’organisme européen HERA (Health Emergency Response Authority). (...)
Une poussée de fièvre et des éruptions cutanées
Le nombre de cas confirmés de variole du singe dans le monde a atteint 219 mercredi en dehors des pays où la maladie est endémique, selon un bilan du Centre européen de prévention et de contrôle des maladies (ECDC). « La plupart des cas sont des jeunes hommes, s’identifiant eux-mêmes comme des hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes. Il n’y a eu aucun décès », selon l’agence européenne basée à Stockholm. L’Europe concentre l’essentiel des cas avec 191 cas, dont 118 dans les pays de l’UE. (...)
La maladie, cousine moins dangereuse de la variole éradiquée depuis une quarantaine d’années, est endémique dans 11 pays d’Afrique de l’Ouest et en Afrique centrale. Elle se traduit d’abord par une forte fièvre et évolue rapidement en éruption cutanée, avec la formation de croûtes.