
Christopher A. Shaw et sa collègue de l´université de British Columbia, Lucija Tomljenovic, tirent ainsi la sonnette d´alarme dans un article paru début janvier dans la revue Lupus, « Mechanisms of aluminum adjuvant toxicity and autoimmunity in pediatric populations » (mécanismes toxicologiques de l´aluminium comme adjuvant et problème d´autoimmunité en pédiatrie).
Ces deux chercheurs livrent une synthèse de 90 études relatives à l’aluminium en tant qu’adjuvant vaccinal en pédiatrie. Ils affirment que cette substance est particulièrement dangereuse pour les jeunes enfants. Cette nouvelle alerte de la part de chercheurs en neurosciences canadiens concerne aussi le système immunitaire.
Nul doute que cette nouvelle prise de position sur les dangers de l´aluminium vaccinal aura ses détracteurs. Cet adjuvant est en effet considéré comme sans problème par les autorités sanitaires et l´establishment médical[1], même si un grand nombre de médecins généralistes se posent des questions sur la sécurité des vaccins[2].
(...) Autre information lourde sur l´aluminium, il entrerait aussi dans la composition des vaccins témoins : « Le fait qu’un très grand nombre d’essais cliniques utilisent comme « contrôles » des placebo contenant de l’aluminium ou même un autre vaccin contenant de l’aluminium, empêche une évaluation correcte des complications liées aux vaccins. (…) ». Dès lors, le protocole de ces essais ne permet pas de détermier la toxicité éventuelle de l´aluminium. (...)