
A la fin de janvier 2014 s’est produit un fait inédit : des leaders de l’opposition et le gouvernement ont commencé à plancher ensemble sur la sécurité citoyenne, à la suite de l’appel de Nicolas Maduro à construire un “agenda commun”. Ce dialogue fut interrompu par la tentative de coup d’État d’une extrême droite qui refuse le choix de la majorité des électeurs (1).
Ce 1er mars, tandis que ces groupes violents, bien qu’encouragés par les mensonges des médias internationaux, se désagrègent, la firme privée de sondages International Consulting Services indique que 80,9% des vénézuéliens appuient l’initiative du président Maduro de reprendre le dialogue national pour la pacification du pays. (...)
Le 27 février des représentants des mouvements sociaux, politiques et religieux, des intellectuels et des leaders de l’opposition ont répondu positivement à l’invitation de Maduro à reprendre les travaux à Caracas (photo). Seule la “Plate-forme de l’Unité Démocratique” (MUD, droite) a refusé d’y participer. Ce que 72 % des vénézuéliens sondés par ICS considèrent comme une mauvaise décision. (...)