
C’est compliqué de faire un aéroport. Sur les zones humides, par exemple, un brouillard se lève souvent, qui gêne les avions non équipés et génère des coûts supplémentaires. Et plein d’autres problèmes techniques, que soulèvent les pilotes de Nantes Atlantique. Hmmm… désolé pour la photo, on n’y voyait plus rien.
"La contrainte du brouillard risque d’ailleurs d’être sévère pour les compagnies régionales, les charters et les low‐costs, soit la quasi‐totalité du trafic de Nantes, ce type de compagnies n’’ayant pas toujours la politique ou les moyens d’’investir et/ou de maintenir la qualification machines/équipages, s’agissant d’approches en catégorie 3.
Il y a enfin, le problème délicat du dégivrage, extrêmement polluant. Aéroports de Paris avait pris une infinité de précautions pour éviter la pollution d’une zone propre, de part et d’’autre de la ligne de séparation des eaux de l’’Oise et de la Marne. On espère que l’’impasse dans ce domaine, n’’est pas totale." (...)