
Suivant l’article d’A. Supiot le Monde Diplomatique d’Octobre
Dans l’histoire, les mutations techniques et technologiques ont toujours généré de nouvelles formes d’organisations du travail et de son droit. La révolution numérique en cours n’y échappe pas.
Les ordonnances du gouvernement sont présentées comme la seule réponse possible à ces transformations.
En quoi l’option néolibérale de ces ordonnances répond-elle à un monde du travail qui passe d’une main d’œuvre obéissant à des ordres à un « cerveau d’œuvre « qui doit réaliser des objectifs.
Ces ordonnances sont-elles une nécessité ou un choix politique et alors au bénéfice de qui ?
L’article de A. Supiot démonte, analyse le choix politique de ces ordonnances et développe des alternatives prenant en compte les aspirations humaines qui conduiraient à une tout autre réforme, démentant ainsi le discours qui nous est servi : il n’y a pas d’alternatives.
Nous ne pourrons pas faire l’économie d’une réflexion sur ce sujet qui va largement engager l’ avenir professionnel de chacun.
venez vous informer et en discuter