Acrimed vient de fêter ses 20 ans. Et comme nous l’avons écrit à cette occasion, Acrimed est une « créature fragile » puisqu’elle « repose sur une activité militante, pour l’essentiel bénévole, et ne dispose que de faibles ressources financières ».
Il ne sert à rien de (se) raconter des histoires : pour qu’Acrimed continue à exercer dans des conditions acceptables ses activités, il nous faut de nouvelles « ressources », sans lesquelles nos caisses continueront à se vider dangereusement, laissant craindre un dépôt de bilan qui pourrait survenir à la fin de l’année 2016.
Autrement dit et concrètement :
Acrimed a besoin d’argent, et plus précisément de 60 000 euros !
Notre situation financière n’est pas dramatique, mais inquiétante. Merci de vous en inquiéter.
Qu’on se le dise : nos ressources financières ne sont constituées que par les cotisations des adhérents, des dons et la vente de notre délicieux magazine, Médiacritique(s). Nous ne recevons aucune subvention [1], notre site est intégralement gratuit et nous sommes réfractaires à toute forme de publicité. (...)