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Le département d’État américain met fin à un programme de surveillance de l’air à l’échelle mondiale qui, selon des chercheurs, aurait été financé par ses propres moyens
#USA #Trump #pollutionatmospherique
Article mis en ligne le 11 mars 2025
dernière modification le 9 mars 2025

Cette initiative a permis de faire pression sur le gouvernement chinois pour qu’il assainisse l’air à Pékin et a ensuite été étendue à des dizaines de villes dans le monde. Aujourd’hui, elle a été brusquement interrompue.

En 2008, l’ambassade des États-Unis à Pékin a commencé à tweeter régulièrement sur la qualité de l’air dans la ville, qui se préparait à accueillir les premiers Jeux olympiques de Chine. Deux fois par jour, l’ambassade publiait automatiquement les niveaux de pollution mesurés par un moniteur de qualité de l’air installé sur son toit en collaboration avec l’Agence américaine de protection de l’environnement. Les données contredisaient les chiffres publiés par le gouvernement local, ce qui a suscité la colère des responsables locaux et incité la Chine à assainir l’air de sa capitale. Mais mardi, un porte-parole du département d’État américain a déclaré à WIRED que le programme prenait fin abruptement en raison de contraintes budgétaires.

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