
oui, localement , des " Associations" viendront suppléer le manque de profs avec des jeunes bénévoles ou au SNU : sans transparence ni contrôle des subventions reçues par ces " associations" ... https://t.co/9ikao57a2P
— L'oreillette de Claire, #ResistSR (@claire39055079) October 3, 2022
La marchandisation de l'école, c'est donner une plus grande part à l'école privée, mais aussi faire entrer les marchés privés au sein même de l'école publique . ça se voit moins ... pic.twitter.com/u1ffcBseH0
— L'oreillette de Claire, #ResistSR (@claire39055079) October 3, 2022
Rappel : ce que préconisait l’OCDE en 1996
"Pour réduire le déficit budgétaire, une réduction très importante des
investissements publics ou une diminution des dépenses de fonctionnement ne
comportent pas de risque politique.
Si l’on diminue les dépenses de fonctionnement, il faut veiller à ne pas diminuer la quantité de service, quitte à ce que la qualité baisse.
On peut réduire, par exemple, les crédits de fonctionnement aux écoles ou aux universités, mais il serait dangereux de restreindre le nombre d’élèves ou d’étudiants. Les familles réagiront violemment à un refus d’inscription de leurs enfants, mais non à une baisse graduelle de la qualité de l’enseignement et l’école peut progressivement et ponctuellement obtenir une contribution des familles, ou supprimer telle activité. Cela se fait au coup par coup, dans une école mais non dans l’établissement voisin, de telle sorte que l’on évite un mécontentement général de la population. (...)"