
Depuis leur arrivée au pouvoir les socialistes français dépensent des sommes considérables pour expulser des populations qui reviennent quelques jours plus tard. Depuis quelques semaines, une nouvelle procédure est testée à Lyon qui dépasse tout ce qu’on avait connu jusqu’à présent en ce qui concerne la dilapidation des fonds publics.
Vaulx-en-Velin, 23 août 2013. 400 Roms occupent un terrain sur cette commune de l’est lyonnais. Parmi eux, plus d’une centaine vivent depuis une semaine sur les cendres de leurs cabanes détruites par un incendie au milieu des détritus et des rats. (1) Soucieux d’abréger leurs souffrances, le gouvernement socialiste décide d’expulser tout ce joli monde noirci par la fatigue, la fumée et les cendres une semaine plus tard. Ce sont donc 400 personnes qui sont jetées sur le trottoir avec tout ce qu’elle possèdent, c’est-à-dire pas grand chose. Renseignements pris auprès de la Kommandantur, pardon de la préfecture, ce ne sont pas 400 personnes qui sont jetées comme des chiens, mais 300.
100 personnes, c’est-à-dire une grosse vingtaine de familles parmi lesquelles des nourrissons sont hébergées… dans des hôtels... Pour quelques jours…
En effet, 7 jours après avoir été placés dans les hôtels, toutes les familles reçoivent une OQTF (Obligation de Quitter le Territoire Français). Elle n’est pas belle l’hypocrisie des socialistes ? Ils poussent des cris de vierge effarouchée quand un hebdomadaire de droite titre sur les Roms (2), mais eux, ils tirent sur les Roms dans le dos. (...)