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Messieurs les Industriels de l’Agroalimentaire, CESSEZ de nous empoisonner ! Pétition
Article mis en ligne le 9 mars 2016

Depuis plus d’un an , Le Député Européen José Bové alerte sur les méfaits du E171, Dioxyde de Titane. (1)

Colorant et opacifiant, le TiO2 fait partie de la composition de plusieurs produits de notre alimentation sous forme de nanoparticules dans les M&M’s (Mais aussi certains plats cuisinés, des biscuits, des glaces, des chewing-gum, des boissons, des sauces, des dentifrice, des crème solaires et des médicaments...) (2)

Ces nanoparticules sont également cachées dans les additifs suivants : E170, E172, E550 et E551 (SiO2).

Or depuis de nombreuses années déjà (2003), des scientifiques tentent de nous mettre en garde. (3)

« En 2008, on constate que les particules s’accumulent dans l’organisme qui ne parvient pas à s’en débarrasser. En l’état actuel des recherches, on peut seulement prédire qu’il y a là un potentiel pour produire une inflammation chronique », précise le Pr Tschopp,prix Louis-Jeantet de médecine.

En 2010, l’AFFSET (Agence Française de Sécurité Sanitaire de l’Environnement et du Travail) sonne l’alarme officiellement. (4)

En 2011, des chercheurs du département de biochimie de l’Université de Lausanne (UNIL)(5) et de l’université d’Orléans ont faits des tests in vitro et in vivo sur des cellules humaines qui ont permis de démontrer que le Dioxyde de Titane sous forme nanométrique ( utilisée dans l’alimentation par exemple) a une activité PRO-INFLAMMATOIRE sur les poumons et le péritoine, d’où un possible effet CANCÉROGÈNE, tout comme l’Amiante et la Silice ! Deux irritants bien connus, ainsi que des dégénérescences neurologiques

En 2012, Un article du monde faisait part de la paralysie face à une nano-réglementation : Dans l’industrie alimentaire, les nanomatériaux sont principalement soumis, au niveau européen, au règlement "Novel Food" : les nouveaux aliments doivent recevoir une autorisation avant d’être mis sur le marché. Toutefois, comme le relève le ministère, jusqu’ici, "aucune demande d’autorisation n’a été recensée au niveau européen". "en réalité, les nanomatériaux sont mis sur le marché sans enregistrement préalable ni suivi, en contradiction avec le principe directeur de Reach : "Pas de données, pas de mise sur le marché". (...)