
Bonne nouvelle : ils ont tous été remis en liberté. Non ils n'ont pas commis de violences. Et non, leurs revendications ne portaient pas sur le port d'habits mais sur le soutien à un enseignant et sur l'aide aux devoir. C'est ce qu'on appelle la solidarité #JoliotCurie https://t.co/xKFCG7emxe
— Arié Alimi (@AA_Avocats) October 12, 2022
A 15 ans leur place est à l'école et pas dans un commissariat. Retrouvez mon communiqué de presse au sujet de la situation du lycée Joliot Curie de Nanterre ⬇️ pic.twitter.com/bY1lf2DU9k
— Sabrina Sebaihi (@SabrinaSebaihi) October 12, 2022
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14 jeunes en garde à vue, un à l’hôpital : la macronie réprime sévèrement une grève lycéenne
Une scène désormais ordinaire s’est tenue hier en région parisienne. Au lycée Joliot Curie de Nanterre, une grève des lycéens a été violemment réprimée par les forces de l’ordre. Les policiers ont fait usage de gaz lacrymogènes et de LBD pour dégager le blocus des lycéens, qui s’étaient réunis en soutien à Kaï Terada, un professeur de mathématiques suspendu puis muté pour son activité syndicale.
Le lycée Joliot Curie est visiblement le lieu de toutes les répressions, syndicale puis policière. En effet, 14 lycéens ont été arrêtés et ont passé la nuit en garde à vue, tandis qu’un élève s’est retrouvé à l’hôpital. Pour en parler, nous reçevons dans cet entretien express Arthur Dessaux, professeur au lycée Joliot Curie. (...)