– Le licenciement que nous avons subis n’est en rien consécutif à la nécessité de sauvegarder la compétitivité de l’entreprise mais bien à votre décision d’en augmenter encore la profitabilité à l’occasion de la fusion-absorption.

– Les prétendues offres valables d’emploi et le simulacre de reclassement ne furent que de la poudre aux yeux destinés à donner bonne conscience aux syndicats signataires et à donner un vernis légal à cette mascarade.

– La direction de Generali France opère depuis de nombreuses années un abattement illicite sur les charges sociales, une sorte de fric-frac, et spolie de ce fait tant les droits des salariés que les organismes sociaux.

Face à l’iniquité et la perversité de la situation créée par vos services, au lieu d’entreprendre des actions violentes contre Generali qui auraient dénaturé le sens de notre combat, nous avons décidé d’exercer cette violence contre nous, en menant une grève de la faim en cascade.

Aujourd’hui, nous sommes 14 salariés licenciés à mener cette grève dont l’un d’entre nous depuis 41 jours. (...)

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