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La centralisation face à l’association
par matthius lundi 15 septembre 2014
Article mis en ligne le 24 septembre 2014
dernière modification le 15 septembre 2014

C’est en associant des matières premières, des molécules ou atomes entre eux que l’humain possède une économie viable. Plus il est possible d’associer dans notre société, plus notre économie se développe. La centralisation ne sert alors plus un empire mais l’association. La centralisation doit laisser place à l’association, car l’association développe notre économie.

Dans les temps anciens, ce sont le peu de villes, dus à un manque industriel, qui créaient des dirigeants malhonnêtes. La police n’existait pas et les fermes étaient régulièrement pillées. Cela incitait aux représailles. C’est le monde souhaité par les spéculateurs, car c’est le non développement et donc l’appauvrissement qui permet le maximum de gains et de pouvoir. En effet, la raréfaction fait monter les prix et le trafic. On peut faire le parallèle avec aujourd’hui où la police manque de moyens et laisse faire les milices fascistes quand la droite est au pouvoir, où les milices rouges quand c’est la gauche. Ainsi les campagnes sont pillées. Ce sont là où sont les richesses de subsistance. Ainsi cela crée l’implosion d’un pays qui ne se développe pas, donc s’appauvrit, car la vie c’est le mouvement. (...)

Une meilleure qualité de vie doit être protégée. Cette meilleure qualité de vie est permise par les industries et l’agroalimentaire, par les grands travaux aussi. L’industrie a aussi besoin d’un état qui favorise l’association entre les différentes industries. Cela se fait par les découvertes scientifiques permettant plus de complexité donc plus de décentralisation par l’association. Ces industries doivent être complémentaires, car une industrie produit en série et se spécialise donc. Sans coordination des industries meurent.

Le commerce sans une industrie forte peut s’apparenter au trafic, car le trafic consiste à acheter pas cher pour vendre cher, sans réelle création de richesse, donc vers un appauvrissement. Acheter pas cher pour vendre cher fait pression sur la production. Si l’industrie et les grands travaux permettent d’augmenter la qualité de vie, le commerce devient alors moral car il y a développement. Le commerce sert alors le développement, pas la rente.

Ainsi les canaux et le train permettent avec plus ou moins de vitesse de répartir les denrées sur le territoire. La route, dont le lobby est très important ne devrait servir qu’à faire le relais entre les transports collectifs et le particulier. En effet la route demande à répartir trop de moteurs sur trop de transports. (...)