
La loi relative à la solidarité et au logement urbain, communément appelée loi SRU, mentionne que chaque commune appartenant à une communauté urbaine de plus de 50 000 habitants, doit construire un minimum de 20% de logements sociaux. Les constructeurs sont astreints à respecter dans leurs programmes un pourcentage de logements sociaux. C’est le bien-vivre ensemble qui en dépend, le logement social doit être présent dans les quartiers dits « résidentiels », comme à Neuilly ou sur la Promenade des Anglais.
Le logement social doit se fondre dans la ville et ne plus se concentrer dans des zones-ghettos. Le problème, c’est qu’il y a 30ans, les plus aisés voulaient vivre en dehors des villes, et maintenant c’est le contraire, ils réinvestissent le centre ville et donc, on déplace les plus pauvres. C’est les plus riches qui choisissent où doivent vivre les classes populaires ! Le plus pauvre ne choisit ni son appartement, ni son environnement, pas plus qu’il ne choisit son boulot ou l’école de ses enfants.
L’Etat, plutôt que de financer par des lois des dispositifs qui permettent aux propriétaires de faire payer leur investissement en partie par l’Etat et l’autre partie par le locataire (qui demandera aussi une aide à l’Etat via l’APL ou autre), devrait lui même financer des logements sociaux de qualité et récupérer les loyers des occupants. Actuellement l’Etat finance des logements privés.
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Non seulement il manque des logements, mais certains appartement proposés à la location sont insalubres et les loyers de plus en plus chers ! Même en travaillant, il devient impossible de se loger