
Développé par le groupe Soufflet, un nouveau concept de chaudière biomasse (1), fonctionnant à base de poussières de céréales, vient de voir le jour. Installé en septembre 2011 sur un site de Nogent-sur-Seine du même groupe, il a, depuis lors, fait ses preuves. Sur ce site d’expérimentation, deux malteries génèrent d’importantes quantités de poussières de céréales qui, auparavant mal valorisées, sont désormais utilisées sur place comme combustibles. Introduites dans la chaudière biomasse et brûlées à 1000 °C, elles chauffent l’eau qui va, à son tour, transmettre la chaleur via un système d’échangeurs. Cette chaleur est alors employée en malterie pour la touraille, dernière étape du processus de maltage qui consiste à sécher le malt. D’une puissance de 6 MW, la chaudière utilise, à pleine puissance, 1,5 tonne de poussières par heure.
Sur ce site d’expérimentation, deux malteries génèrent d’importantes quantités de poussières de céréales qui, auparavant mal valorisées, sont désormais utilisées sur place comme combustibles. Introduites dans la chaudière biomasse et brûlées à 1000 °C, elles chauffent l’eau qui va, à son tour, transmettre la chaleur via un système d’échangeurs. Cette chaleur est alors employée en malterie pour la touraille, dernière étape du processus de maltage qui consiste à sécher le malt. D’une puissance de 6 MW, la chaudière utilise, à pleine puissance, 1,5 tonne de poussières par heure. (...)
avec 12 000 tonnes de poussières brûlées par an, la chaudière biomasse permet une réduction annuelle de 73 % du gaz naturel
(...)