
Alors que des indices nombreux pointent les élevages de visons comme étant à l'origine de la pandémie de Covid (https://t.co/6r2qdDs7fm), le désir du gouvernement de repousser la fermeture des élevages de visons est IRRESPONSABLE et revient à une MISE EN DANGER DE LA VIE D'AUTRUI https://t.co/jH2tXVAstx
— Hervé Kempf (@KEMPFHERVE) January 24, 2021
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Le « chainon manquant » entre la chauve-souris et l’humain pourrait bien être le vison — le chien viverrin est également suspecté. Ceci expliquerait la volonté tenace de la Chine — premier producteur mondial de fourrure — de verrouiller l’information scientifique. (...)
Notons que si ces espèces ont fait l’objet d’un black-out médiatique, le ministère chinois de l’Agriculture et des Affaires rurales n’a pas pour autant oublié leur existence. Lorsqu’il a fallu, sous la pression de l’opinion publique mondiale, interdire le commerce d’animaux sauvages en raison des risques d’émergence virale et de propagation, il les a requalifiées en « espèces domestiques » afin d’exonérer leur élevage de toute entrave possible.
Évoquons aussi le succès planétaire de la fable du pangolin. Pas moins de quatre articles chinois sont sortis pour incriminer cet animal à écailles. (...)
Il y a trois mille élevages de visons chinois, dont certains dépassent les cent mille têtes (...)