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Pressenza
Bruxelles : la mobilisation de la Marche Globale pour Gaza continue
#israel #palestine #Hamas #Cisjordanie #Gaza #MarcheGlobalepourGaza
Article mis en ligne le 29 juin 2025
dernière modification le 28 juin 2025

Une lettre ouverte (voir le lien en bas du texte) a été rédigée, adressée aux chefs d’État et de gouvernements européens tels que Mme Callas, représentante de l’Union pour les affaires étrangères, Ursula Von der Leien, présidente de la Commission, Antonio Costa, président du Conseil européen et Roberta Meztola, présidente du Parlement.

Dans cette lettre, la Marche Mondiale demande l’arrêt du génocide du peuple palestinien, étant donné qu’il a fallu deux mille ans pour arriver à la Charte des Droits de l’Homme de l’ONU, qui s’est construite sur la coopération des pays et aussi sur le refus de répéter les holocaustes et les génocides. Cette lettre à l’Europe pose la question de savoir si ces textes fondamentaux s’appliquent uniquement aux Européens ou également à d’autres pays et peuples. Face à la terreur, aux massacres et à la famine provoqués par les hommes, que font les gouvernements ? Un peuple entier peut-il cesser d’exister, sa culture et sa musique, son art, ses histoires peuvent-ils disparaître avec les bâtiments, les corps, les familles, les enfants, des enfants qui n’entendront jamais les histoires de leurs grands-parents et des parents qui n’entendront jamais la voix de leurs enfants ?

Avec cette lettre, la Marche mondiale pour Gaza veut jeter une pierre aux institutions qui, en notre nom, ont permis le génocide du peuple palestinien et qui, ces jours-ci, votent un document visant à augmenter les dépenses militaires de 5 %, afin de rendre notre vie quotidienne bien pire dans les 27 États membres de l’Union européenne. Toujours en notre nom mais sans notre voix ! La lettre se termine par l’accusation de ne plus nous représenter, de nous ignorer et de nous réduire au silence, comme cela a été fait pour le peuple palestinien.

(...)