
Les effets dévastateurs de la crise semblent avoir désormais atteint la charge critique suffisante pour susciter quelques remises en ordre dans les régulations économiques et financières du capitalisme mondialisé. Il convient même de louer, avec John Maynard Keynes, cette capacité, que d’aucuns appellent poliment le pragmatisme, qui « amène hommes d’Etat et gestionnaires à limiter les conséquences les plus graves des erreurs de l’enseignement qui les a formés, en prenant des initiatives presque en contradiction avec leurs principes, tout en n’étant, dans la pratique, ni orthodoxes ni hérétiques (1)... ».Les effets dévastateurs de la crise semblent avoir désormais atteint la charge critique suffisante pour susciter quelques remises en ordre dans les régulations économiques et financières du capitalisme mondialisé. Il convient même de louer, avec John Maynard Keynes, cette capacité, que d’aucuns appellent poliment le pragmatisme, qui « amène hommes d’Etat et gestionnaires à limiter les conséquences les plus graves des erreurs de l’enseignement qui les a formés, en prenant des initiatives presque en contradiction avec leurs principes, tout en n’étant, dans la pratique, ni orthodoxes ni hérétiques .. ».