
Il faut voir comme ils dansent pour lui complaire. Il faut voir comme ils se couchent en signe d’allégeance. Il faut voir comme il corrige d’importance les (rares) récalcitrants. Lui, c’est le grand Marché tout-puissant. Eux, les États qui lui sont pieds et mains assujettis.
Tout passe à sa moulinette : les perfusions financières dont tous ces vieux États ont un impératif besoin, la distribution du travail et des revenus, les retraites, et jusqu’aux besoins les plus vitaux (alimentation, protection sanitaire…).
La dette comme arme absolue...
Plus de victimes que sous le régime stalinien...
Un Marché à bout de souffle mais toujours capable de nuire...
e chemin de la reconstruction ne partira pas du sommet (cette gouvernance mondiale forcément assurée par un clan dominant ― la finance aujourd’hui) pour aller vers la base. Mais à l’inverse, de la base (ou plutôt les bases, dans toutes leurs richesses respectives) vers le sommet (l’utopie).
Pas demain la veille ? Peut-être. Mais qui ne tente pas l’impossible ne rendra jamais rien possible. Et nous n’avons plus le choix. À toi de voir, mon petit peuple.