
Deux hangars pour 84 000 poulets, soit 21 poulets de chair par m², vont voir le jour
(contrairement aux poulets) dans la commune du Plessis-Barbuise !
Dans le rapport d’enquête, on apprend que ce projet est censé favoriser la
consommation “locale”.
Cependant, ce “local” servira surtout à enrichir l’entreprise DUC (rachetée par le groupe néerlandais Plukon Food Group en 2017), qui fournira ces poulets de 40 jours aux grandes enseignes de supermarchés.
À l’approche de 2025, où l’on promeut le bien-être animal, le bio et la qualité, comment
peut-on encore laisser passer un tel projet ? C’est un véritable non-sens environnemental et écologique.
À 1 km de l’école et des habitations, et à quelques mètres d’un bras de la Noxe, ce
secteur deviendra :
• 600 000 poulets élevés chaque année ;
• L’état des routes dégradé par le trafic incessant des camions ;
• Les tonnes de CO₂ rejetées ;
• La consommation excessive d’eau