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cyber @ction N° 592 : Pour l’annulation du retrait de l’article de GE Seralini
Article mis en ligne le 9 décembre 2013

Le 27 novembre 2013, l’éditeur de la revue Food and Chemical Toxicology FCT, Wallace Hayes, a écrit à l’équipe de Séralini en leur demandant de retirer leur article publié il y a tout juste un an au motif qu’il était ’peu concluant’, mais pas parce qu’il y avait eu fraude ou erreur [5]. En fait, le document avait été publié après lecture et examen par des pairs au nombre de 5 - le nombre habituel étant 2 ou 3 - et les critiques formulées avaient fait l’objet d’une réponse détaillée par l’équipe de Séralini, et cette réponse était parue dans la même revue [6].

OGM - Santé publique : 130 ONG exigent la transparence et réclament la suspension provisoire des autorisations du Maïs NK603 et du Roundup
http://www.cyberacteurs.org/cyberactions/lettre-ouverte-ministres-ogm-sante-publique-516.html

Devant l’incroyable levée de boucliers suscitée par la publication de Gilles-Eric Séralini et de son équipe dans le journal Food and Chemical Toxicology, nous, membres de la communauté scientifique, tenons à affirmer les points suivants. Voir la pétition lancée l’an dernier.
http://www.cyberacteurs.org/cyberactions/science-conscience-535.html

Ce qui suivit fut une campagne mondiale concertée pour discréditer les conclusions de ce groupe de recherche, y compris la nomination de l’ex- scientifique de Monsanto Richard Goodman au poste nouvellement créé de rédacteur en chef adjoint de la biotechnologie auprès de la revue Food and Chemical Toxicology FCT [4]. Peu de temps après la nomination de Richard Goodman, une étude menée par des chercheurs au Brésil, qui avait également montré des effets potentiellement nocifs des OGM, a été retirée de la revue FCT, mais elle est réapparue presque immédiatement après dans une autre revue.
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