
Les agents du CASVP sont exclu-es des dispositifs englobés sous l'appellation "Ségur", consistant à une augmentation de salaire de 189 € nets mensuels. Ayant déjà des salaires bas, elle et ils se soulèvent contre l'injustice criante qu'iels subissent.
— Adèle Tellez (@AdeleTellez) October 10, 2022
Sous la pression de la CGT et la menace d'une grève, la Ville a concédé, avant l'été, l'élargissement à 560 agents qui ne figurent pas dans les décrets. Elles veulent la même chose pour les 1500 qui restent.
— Adèle Tellez (@AdeleTellez) October 10, 2022
Face à la surdité et le mépris de l'hôtel de Ville parisien, concentré sur les jeux olympiques et son orthodoxie budgétaire qui l'amènent à reporter sans filtre sur les feuilles de paie les coups bas du gouvernement envers les travailleuses et les travailleurs,
— Adèle Tellez (@AdeleTellez) October 10, 2022
La majorité d'entre elles gagnent un SMIC à peine amélioré, certaines sont mères célibataires et s'engagent néanmoins dans la bagarre avec une dignité qui force le respect.
— Adèle Tellez (@AdeleTellez) October 10, 2022
Pour un nombre de grévistes qui oscille entre 250 et 500 selon l'intensité des journées d'action, comme les 22, 23, 29 et 30 septembre derniers, l'indemnisation partielle d'une journée de grève se monte à 10 000 €.
Leur détermination est immense.— Adèle Tellez (@AdeleTellez) October 10, 2022
Ce texte a été rédigé collectivement par les grévistes.
— Adèle Tellez (@AdeleTellez) October 10, 2022