
126 chercheurs demandent à l’INRA de retirer son dernier grand rapport sur l’agriculture biologique, en raison de sa médiocrité sur le plan scientifique.
Parmi eux des chercheurs, des ingénieurs, des maîtres de conférence, des professeurs émérites... Tous sont issus du milieu académique. Un tiers d’entre eux travaillent à l’INRA (Institut national de recherche agronomique, sur plus d’une dizaine de sites différents (Avignon, Rennes, Montpellier, Grignon, Toulouse, Clermont-Ferrand, etc).
D’autres organismes de recherche reconnus sont représentés : le CNRS (Centre national de la recherche scientifique), le CIRAD (Centre de coopération internationale en recherche agronomique pour le développement), l’INSERM (Institut national de la santé et de la recherche médicale). Des écoles d’agronomie sont également présentes (AgroParisTech, Montpellier SupAgro, AgroCampus Rennes), ainsi que plusieurs universités et le Museum d’histoire naturelle.
Le mouvement émane donc de toute la recherche française, et même internationale : des scientifiques suisses, canadiens ou belges ont également apposé leur nom en bas de cette missive. (...)