
Le dérèglement climatique, conséquence majeure des trop nombreuses émissions de gaz à effet de serre (vapeur d’eau, dioxyde de carbone, méthane) lié aux activités humaines a atteint un niveau tel qu’il met en danger la survie de notre espèce. La limite impérative d’élévation des températures à un maximum de 1,5° C par rapport à l’époque préindustrielle est déjà quasiment atteinte.
l’eau devrait encore monter 50 centimètres d’ici à 2050 et de 1,40 mètres d’ici à 2100. Conséquence : plus de 200 millions de réfugiés climatiques à déplacer. Soit trois fois la population de la France.
Début avril 2017, la Colombie a connu une des pires catastrophes de son histoire (...)
Moins d’arbres, ce sont des sols qui absorbent moins l’humidité et qui perdent leur capacité de régulation face aux inondations. On peut donc légitimement se demander si la déforestation n’a pas joué un rôle plus important que l’on pourrait penser au premier abord dans la catastrophe. On peut voir en Mocoa l’illustration extrême de ce qui arrive quand un gouvernement laisse faire une politique de déforestation intense.
Une réalité particulièrement cruelle en Colombie mais qui n’est pas sans faire écho à d’autres drames humains que nous connaissons aujourd’hui : par exemple, d’après une étude de Santé Publique France publiée en juin 2016, 48 000 personnes décèdent chaque année en France de la pollution particulaire, provoquée par les moteurs diesel. À l’échelle mondiale, elle cause selon l’Organisation Mondiale de la Santé, la mort prématurée de 7 millions de personnes contre 600 000 à l’échelle européenne.
En prenant en compte le fait que notre mode de vie et notre comportement ont une incidence considérable sur notre environnement, demandons-nous comment, à notre échelle, avoir l’impact le plus réduit possible sur l’environnement ? Changer ses habitudes est difficile mais en adopter d’autres progressivement et plus respectueuses envers l’environnement et notre santé est une solution à notre portée. Aujourd’hui, il est important d’en saisir les implications et d’agir dans notre propre vie avec des initiatives censées. Le futur de notre planète est incertain. Serons-nous capables de changer nos modes de vie à temps ? (...)
LE LOCAVORISME
Définition : Le locavorisme est un mouvement qui prône la consommation de nourriture biologique produite dans un rayon restreint autour de son domicile. (...)
LE VÉGÉTALISME
Définition : Il s’agit d’un principe diététique recommandant l’usage alimentaire des végétaux, à l’exclusion de la viande, du poisson et de tout produit d’origine animale. (...)
RÉSISTER À L’AGRESSION PUBLICITAIRE (...)
QUELQUES ASTUCES ÉCO-ECOLO À APPLIQUER DÈS MAINTENANT. (...)
Les consommateurs et la décision de mieux consommer ne peuvent à elle seule changer le monde, mais c’est un moyen de changer la politique. Pour créer un changement systémique, il faut que les politiques soient là. Ces initiatives qui fleurissent, nous pouvons les multiplier et les diversifier pour qu’elles puissent atteindre les politiques. Nous sommes l’inspiration du changement, l’engagement citoyen est la clé de voûte d’un changement global !