
Si nous ne voulons pas d’un Tchernobyl ou d’un Fukushima en France, il faut nous mobiliser. 3/4 des réacteurs ont plus de 30 ans et le chantier du nouveau réacteur EPR de Flamanville constitue une réelle menace avec ses nombreuses malfaçons. Le risque de catastrophe est donc imminent.
Nous sommes à une période charnière où fin décembre 2016, 42 réacteurs sur les 58 réacteurs installés sur le territoire français auront dépassé leur limite d’âge : ils ont été conçus pour durer 30 ans. Le risque de catastrophe est donc imminent.
Comme à Fukushima et Tchernobyl, ce seront des milliers de km2 inhabitables, des centaines de milliers de personnes déplacées, des centaines de milliards d’euros volatilisés.
Utilisons les 60 milliards d’euros prévus pour le rafistolage des vieux réacteurs dans les économies d’énergie et les alternatives énergétiques (solaire, éolien, biomasse, hydrolien...).
Le chantier de l’EPR de Flamanville est un fiasco : le prix a triplé pour dépasser les 10 milliards d’euros, les malfaçons sont nombreuses, la plus inquiétante est celle de la cuve qui risque de se fissurer au moindre choc thermique. Le décret de création est caduc à partir du 11 avril 2017. C’est l’occasion d’obtenir l’abandon du chantier. Et cela évitera un démantèlement problématique de plus, si le combustible n’est pas chargé.
Signons massivement cette pétition pour qu’enfin la page du nucléaire soit tournée. Cette technologie est moralement et socialement inacceptable, c’est une énergie de destruction massive. (...)