
Plusieurs dizaines d’associations de défense de l’environnement se sont mobilisées pour dénoncer un projet de construction de nouveaux barrages-réservoirs dans le Sud-Ouest, dédiés aux besoins de l’irrigation du maïs.
« La mesure la plus pernicieuse du SDAGE Adour-Garonne est la réaffirmation de la « nécessité » de nouvelles ressources en eau, c’est-à-dire la poursuite de la politique des barrages-réservoirs.
C’est principalement dans le bassin de l’Adour qu’un programme de nouveaux barrages-réservoirs a été rendu public, via l’Institution Adour, un EPTB (Etablissement public territorial de bassin), uniquement composé de 20 conseillers généraux, et la CLE (Commission Locale de l’Eau) Midouze, sa succursale.(...)
« La mesure la plus pernicieuse du SDAGE Adour-Garonne est la réaffirmation de la « nécessité » de nouvelles ressources en eau, c’est-à-dire la poursuite de la politique des barrages-réservoirs.
C’est principalement dans le bassin de l’Adour qu’un programme de nouveaux barrages-réservoirs a été rendu public, via l’Institution Adour, un EPTB (Etablissement public territorial de bassin), uniquement composé de 20 conseillers généraux, et la CLE (Commission Locale de l’Eau) Midouze, sa succursale.(...)
Nous espérons la plus large mobilisation pour arrêter cette politique de barrages-réservoirs (et de « réserves de substitution » en Poitou-Charentes), aménagements hydrauliques maintenant inutiles, antidémocratiques, budgétivores et dommageables pour l’environnement et les hydrosystèmes. » (...)