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Slate.fr
Les « invisibles », ces enfants présents en secret sur les réseaux sociaux
Article mis en ligne le 3 septembre 2016
dernière modification le 1er septembre 2016

La psychologue américaine Mary Aiken travaille sur un algorithme qui viendrait en aide aux enfants victimes de cyber-harcèlement, et à leurs parents.

Communiquer avec ses amis sur Facebook, regarder des vidéos sur YouTube, jouer à des jeux en ligne... Une étude établie entre 2011 et 2014 par le groupe de recherche EU Kids Online a interrogé des enfants issus de vingt-deux pays européens et de cultures différentes concernant leurs pratiques sur le web. Tous évoquent ces activités en ligne a priori banales pour des enfants.

Sauf, qu’officiellement, il est interdit à un mineur de moins de treize ans d’avoir un compte Facebook. Même règle pour détenir un compte sur Google (propriétaire de YouTube) –à l’exception de l’Espagne et la Corée du Sud où c’est 14 ans, et du au Pays-Bas (16 ans)–, ou sur Instagram (qui appartient à Facebook).

Un algorithme contre le cyber-harcèlement (...)

Un public vulnérable

Mary Aiken souligne enfin que ces (trop) jeunes internautes sont exposés en permanence aux dangers lié au cyber-harcèlement. Danger qui concerne tout particulièrement ce public, vulnérable et naïf. Elle propose à ce sujet de créer un algorithme pour détecter les enfants en danger et prévenir leurs proches : (...)