
Ceux qui ont donné l’ordre ou contribué à la déportation de milliers d’enfants ukrainiens vers la Russie pour y être "déprogrammés", adoptés et encore contribuer au repeuplement devront rendre des comptes de ce crime de guerre durant des décennies et des décennies par delà la cessation de la guerre.
Nous appelons la France à œuvrer pour contribuer à instruire ce dossier et à voir identifiés des juges pour sanctionner les responsables.
D’ores et déjà tout doit être entrepris pour permettre à ces enfants de revenir au plus tôt auprès des leurs ou dans leur pays.
La Russie viole la Convention internationale relative aux droits des enfants, traité qui lie quasiment tous les États du monde. Elle doit rendre des comptes à la communauté. Le Comité des droits de l’enfant de l’ONU est en droit de l’interpeller plus fermement que jamais.
Nous signataires resterons mobilisés pour que justice soit rendue sur ce crime de guerre.