L’oligarchie financière mondiale vous berne et vous exploite. Vous travaillez toujours plus pour consommez toujours plus. Les biens que vous achetez ne vous procurent aucun plaisir si ce n’est d’assouvir une pseudo reconnaissance de la part de vos contemporains.

Le système vous rend malheureux, dépressifs, tristes, solitaires, obèses, alcooliques, drogués, vous éloigne de votre famille et des êtres qui vous sont chers, vous empêche de vous réaliser et d’exprimer vos talents, il bride vos esprits en vous faisant accomplir de plus en plus de tâches bêtifiantes et répétitives, le partage du travail a réduit vos capacités et vos centres d’intérêts. Pour comprendre le monde, il faut adopter une vision pluridisciplinaire. Méfiez vous de la facilité, du confort, de l’habitude car se sont les pires ennemis d’un esprit libre. Ne tombez pas dans le piège des loisirs faciles et prédigérés. Ne vous placez jamais sous un étendard, une bannière ou un groupe quelconque. Gardez à l’esprit que, dans la vie comme dans la mort, on reste toujours seul face à notre conscience. Une autorité, quelle qu’elle soit doit pour se légitimer vous offrir plus d’opportunités qu’elle ne vous met de freins. (...)

Il faut - autant que faire se peut - réduire sa consommation de façon drastique, ne pas manger de viande (lorsque vous mangez de la souffrance, elle devient partie de vous), ne plus regarder les médias qui vous manipulent (télévision, journaux, radios), réapprendre à faire confiance à son instinct. Toutes les vérités et savoirs essentiels sont en nous, inscrits dans nos gênes et notre âme. Je ne prétends pas savoir la vérité, je ne la connais pas encore ; je dis seulement que le monde actuel est un mensonge. Réapprenez à faire confiance en la nature humaine (la votre et celle d’autrui), même si parfois vous en paierez les conséquences, vous en serez toujours sereins et apaisés, en accord avec vous même. (...)