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Africa Guinée : Affaire des immigrés guinéens en Belgique : L’ambassadeur Dr Ousmane Sylla convoqué à Conakry…
Article mis en ligne le 23 mars 2014

Les autorités guinéennes pourraient prendre de nouvelles mesures dans le cadre du dossier lié à l’expulsion de certains de ses compatriotes résidents en BelgiqueLes autorités guinéennes pourraient prendre de nouvelles mesures dans le cadre du dossier lié à l’expulsion de certains de ses compatriotes résidents en Belgique (...)

(...) En signant ce mémorandum, la Guinée s’est engagée "à réadmettre sur son territoire, à la demande de la Belgique, toute personne qui ne remplirait pas ou plus les conditions d’entrée, de séjour ou d’établissement sur le territoire Belge, lorsqu’il est démontré que la personne concernée est un ressortissant guinéen". On comprend donc pourquoi la Belgique insistait sur le retour “forcé“ de ces guinéens contre même la volonté des autorités de Conakry.

Cependant, Conakry accuse Bruxelles de n’avoir pas totalement respecté le contenu du mémorandum, surtout en son article 10. Cet article stipule que : " le rapatriement des personnes doit être organisé par la partie contractante requérante en relation avec le représentant légal de la partie contractante requise".

Ainsi, Conakry accuse Bruxelles de n’avoir pas informé son représentant légal qui est son Ambassadeur au Royaume de la Belgique. Des titres de voyage auraient simplement été délivrés aux personnes devant être expulsées sans en informer les autorités de l’ambassade de Guinée à Bruxelles.En signant ce mémorandum, la Guinée s’est engagée "à réadmettre sur son territoire, à la demande de la Belgique, toute personne qui ne remplirait pas ou plus les conditions d’entrée, de séjour ou d’établissement sur le territoire Belge, lorsqu’il est démontré que la personne concernée est un ressortissant guinéen". On comprend donc pourquoi la Belgique insistait sur le retour “forcé“ de ces guinéens contre même la volonté des autorités de Conakry.

Cependant, Conakry accuse Bruxelles de n’avoir pas totalement respecté le contenu du mémorandum, surtout en son article 10. Cet article stipule que : " le rapatriement des personnes doit être organisé par la partie contractante requérante en relation avec le représentant légal de la partie contractante requise".

Ainsi, Conakry accuse Bruxelles de n’avoir pas informé son représentant légal qui est son Ambassadeur au Royaume de la Belgique. Des titres de voyage auraient simplement été délivrés aux personnes devant être expulsées sans en informer les autorités de l’ambassade de Guinée à Bruxelles.