
À l’occasion d’un échange de courriers électroniques sur un détail (le titre donné sur le site d’« Arrêt sur images » à un « Vite-dit » consacré à un article que nous avions publié), nous avons proposé une discussion entre l’équipe d’« Arrêt sur images » et Acrimed. Daniel Schneidermann nous répond en proposant une émission sur le plateau d’ « Arrêt sur images » : une contre-proposition à laquelle nous avons répondu par l’offre d’une discussion publique dans un espace commun. Faute de trouver un accord sur cette offre, nous avons accepté une confrontation dans un espace médiatique qui, de surcroît n’est pas le nôtre : une confrontation forcément asymétrique, sur le plateau d’ « Arrêt sur images », avec un seul d’entre nous, pour ne pas créer l’illusion d’un débat « à armes égales ».
Pourquoi avoir accepté cette confrontation ? Pour clarifier, sans rien oublier des désaccords, voire des affrontements d’hier, l’état actuel des convergences, différences et divergences entre « Arrêt sur images » et Acrimed.