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L’ACO et Rotterdam enquêtent sur les conditions de vie dans l’abri du bateau Silja après une lettre d’alerte des médecins
#PaysBas #Rotterdam #migrants #immigration #asile #maltraitances
Article mis en ligne le 14 avril 2025
dernière modification le 12 avril 2025

La municipalité de Rotterdam et l’Agence centrale pour l’accueil des demandeurs d’asile (COA) vont enquêter sur les conditions de vie sur le bateau d’accueil Silja. Les médecins attachés à Healthcare Asylum Seekers (GZA) sont profondément préoccupés par la situation sur le bateau de croisière, a rapporté le NRC vendredi.

La municipalité et l’ACO affirment ne pas avoir eu connaissance des conditions de vie sur le bateau, mais prennent les signaux "très au sérieux". Leurs préoccupations ont été soulevées par une lettre de GZA, responsable des soins dans les centres d’accueil. Selon les médecins, il y a de la violence, des menaces et de possibles abus sur le Silja. Des maladies infectieuses telles que la gale, la grippe et la varicelle se propageraient également facilement en raison du manque d’hygiène. C’est ce que rapporte le CNR sur la base de la lettre d’incendie.

Les résidents vivent dans de petites pièces partagées, dont la plupart n’ont pas de fenêtre. COA reconnaît que les conditions de vie ne sont "pas idéales", mais n’est pas d’accord avec tous les signaux mentionnés, a déclaré un porte-parole. À la suite de cette lettre, la municipalité de Rotterdam a entamé des pourparlers avec GZA et l’ACO, entre autres. À l’issue de l’enquête, elle examinera s’il convient de réduire le nombre de personnes à bord du bateau de croisière. La municipalité, selon un porte-parole, "ne veut pas s’avancer".

Le bateau de croisière Silja, qui est amarré dans une partie isolée du port à l’ouest de Rotterdam depuis 2023, est l’un des plus grands centres de réfugiés aux Pays-Bas, avec près de deux mille détenteurs de statut. À l’origine, les résidents étaient censés trouver un logement dans les six mois, mais ce délai a rarement été respecté. Entre-temps, la municipalité de Rotterdam a abandonné la période de résidence maximale. Les réfugiés ont droit à un permis de séjour et à un travail légal aux Pays-Bas, mais ils sont contraints d’occuper des lieux de passage en raison de la pénurie de logements. Les chances de ce groupe d’accéder à un logement social locatif ont fortement diminué depuis que la ministre du logement, Mona Keijzer (BBB), a annoncé fin février qu’elle supprimerait le système de priorité pour les détenteurs de statut.