
Malheureusement, malgré toutes les preuves historiques l’idée centrale que la crise capitaliste puisse avoir des origines systémiques n’a quasiment pas cours dans les principaux mouvements de gauche. Cela n’est pas impressionné par les dégâts économiques que le capitalisme inflige mais plutôt par les effets psychologiques du communisme dictatorial et les causes de sa disparition. Ce qui donne l’idée de ne pas battre le système actuel, mais c’est d’en inventer des reformes en calmant les indignés du système.
(...) Chaque fois que le système capitaliste est en crise, les actions sont en en chute, Cette fois-ci, il semble que c’est le système qui est ébranlé et même s’il y avait une alternative démocratique à sa place, le capitalisme pourrait déjà commencer sa chute libre. Le capitalisme ne représente plus un ordre social mais un fléau universel, alors pour sauver le monde, il faut même au-delà des questions de droite et de gauche et d’idéologie mettre en question sa légitimité. Pour cela il faut un rassemblement des intellectuels, des économistes, des organisations humanitaires les hommes et des femmes d’un esprit bienveillant. Donc il faut un immense élan collectif pour un travail d’imaginations, de créativité, de réflexion et espoir pour éviter le pire, pour que le mur brisé de Wall Street ne soit pas reconstruite pour pouvoir imposer son fléau.