
Les médecines naturelles sont victimes de persécutions qui semblent n’avoir qu’un seul but :
– que vous et moi n’ayons plus d’autre option que les médicaments chimiques produits par l’industrie pharmaceutique.
Peu importent les résultats sur notre santé :
Au début des années 2000, le taux de prise en charge par la Sécurité sociale des produits homéopathiques est passé de 65 à 35 % ; il est question maintenant de le réduire à zéro. C’est déjà quasiment acté en Angleterre, où la British Medical Association (BMA) a demandé l’arrêt de la mise à disposition des patients de produits homéopathiques par le système de santé (NHS).
L’ostéopathie, elle, malgré des millions de personnes soulagées de leurs douleurs, y compris des ministres, n’a jamais été remboursée, et ce n’est pas demain qu’elle le sera : jusqu’en 2008, notre « Académie nationale de médecine » traitait les ostéopathes de « charlatans » sur son site Internet.
Concernant la médecine par les plantes, ses jours sur notre territoire semblent comptés. Le diplôme d’herboriste a été supprimé sous Vichy (1941). La 5e République, elle, s’est chargée d’anéantir le commerce des plantes médicinales : aujourd’hui, ne demeurent à Paris, que quatre herboristeries, une centaine sur l’ensemble de la France. Il y en a 50 fois plus en Allemagne ou en Angleterre !
Et quant aux médecines orientales, c’est le nettoyage par le vide : il n’y plus aucune officine spécialisée en médecine chinoise à Paris.
Mais le plus insupportable, c’est que cette destruction méthodique des savoir ancestraux concernant un aspect essentiel de nos vies se fait au nom du « progrès de la science » et de la « protection des malades » ! (...)
C’est pourquoi je vous demande de signer l’appel ci-joint aux candidats à l’élection présidentielle en France. Nous devons être des centaines de milliers à exiger qu’ils s’engagent à respecter notre droit à chacun de se soigner autrement.
Si nous sommes des centaines de milliers, notre appel peut obliger les candidats à sortir de l’ambigüité, et à afficher clairement leur position.
Rien ne peut justifier que les pouvoirs publics privent les citoyens de solutions naturelles, sans effets secondaires, qui peuvent soigner des maladies, en particulier dans les (nombreux) cas où la médecine allopathique n’a rien à proposer.
Notre mobilisation est partie d’un mouvement spontané et généreux : en mars 2011, nous avons réuni 1,5 millions de signatures directive européenne THMPD, sur les remèdes à base de plantes médicinales.
(...)
Nutrithérapie, micronutrition, médecine orthomoléculaire, endothérapie, phytothérapie, médecine cellulaire, beaucoup de chercheurs s’accordent à dire que c’est là que se trouvent les gisements de connaissance d’où émergera la médecine de demain.
→ Des dizaines de médecins et chercheurs hors-normes ont ouvert des pistes prometteuses pour des maladies graves, et ont été étouffés. Nous devons les défendre.
→ On sait, aujourd’hui, que c’est en faisant preuve d’ouverture d’esprit qu’on retrouvera de réels espoirs de soigner les maladies comme le cancer, l’arthrose, le diabète, la maladie d’Alzheimer, la sclérose en plaques, Parkinson, les problèmes de prostate, les maladies cardiovasculaires ou encore la dépression et l’insomnie.
Car contre toutes ces maladies et problèmes de santé, la vérité est que la médecine conventionnelle est démunie. Beaucoup de ses traitements ont des effets violents, qui peuvent parfois être pires que le mal. (...)