
Les mois d’avril et de mai sont étranges dans le sens où par on ne sait quelle mystérieuse contingence ils voient arriver des phénomènes déclencheurs de peur. Rappelez-vous il y a un an, le Mexique, un mystérieux virus, amené à se propager, et faisant des dégâts dans la population de Mexico, avec à la clé des commentaires d’experts épidémiologistes et des images prises dans les hôpitaux tandis que la vision de populations masquées faisait office de signal déclenchant un désagréable sentiment d’apocalypse.
Ne pourrait-on établir une similitude avec la situation en Grèce dont les images passées en boucle livrent aux populations européennes le pressentiment de quelque apocalypse à venir. D’ailleurs le vocabulaire est le même...
...Nous voilà donc en saison deux de la série télévisée la pandémie de la peur. Saison 1 : H1N1, saison 2 : Dette et dominos. Ou alors, saison 1, la grippe mexicaine, saison 2, la dette athénienne.
Au final, on se demande s’il faut écouter les médias. Mieux vaut observer le peu de réalité accessible. ...