
Les phénomènes de morts massives d’animaux deviennent de plus en plus fréquents. Derniers en date, la soixantaine de baleines pilotes echouées hier en Nouvelle Zélande et les vingt-deux cachalots échoués samedi en Australie ont tous péri.
(... ) La cause de ces échouages n’est pas expliquée, mais de tels phénomène se produisent de plus en plus fréquemment, certains y voyant les conséquences de l’usage de sonars plus puissants par les militaires, d’autres des conséquences du déréglement climatique.
Le plus inquiétant est que les cétacés ne sont pas les seuls à être régulièrement décimés sans que l’on sache pourquoi.
On constate de plus en plus fréquemment des hécatombes de poissons ou d’oiseaux sur de nombreux points de la planète. Les mollusques et les insectes ne sont pas épargnés non plus. Ainsi la population d’abeilles chute fortement depuis des années en Amérique du nord.
Si de nombreux sites internet, souvent amateurs comme le blog Nature Alerte, se sont interessés à ce phénomène, les autorités et les scientifiques ne semblent pas très prompts à s’y intéresser. (... )
De plus, l’augmentation des phénomènes de morts massives d’animaux est acompagnée également d’une augmentation statistique des phénomènes météorologiques extrêmes ainsi que de séismes dont la gravité directe et indirecte (par Tsunami) n’avait pas été vue de mémoire d’homme.
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Une série noire dont les médias mainstream ne font que quelques entrefilets dans leur rubrique "insolite".
Un insolite un peu précocupant.