
Cher lecteur qui, malgré le mal que tu penses toi aussi de ces repaires de mafieux, leur confie toujours tes quelques sous, essayons de voir ensemble, s’il te plaît, de quelle manière simple, légale, sécurisée et sans douleur, nous pourrions tenter de les mettre au pas.
Tout en appuyant ceux qui réclament une scission des activités bancaires ou une interdiction des opérations financières prédatrices (les paris spéculatifs sur les variations de prix), choisissons nous-mêmes, sans attendre le bon vouloir d’un Moscovici, notre ou nos deux/trois banques de référence, déposons y nos sous, et faisons-le savoir (...)
D’intéressantes études sur le travail et les implications des banques permettent de distinguer celles qui demeurent les plus attachées au principe d’une économie vraiment sociale et solidaire. Trois banques se distinguent nettement des autres, je les cite à titre de suggestion :
- La NEF (Nouvelle économie fraternelle), pour les placements à terme seulement ;
- Le Crédit coopératif, membre du groupe BPCE (Banques populaires Caisses d’épargne), mais indépendante en matière d’investissement ;
- La Banque postale, malgré une filiale au Luxembourg pour son assurance-vie.
Écartons sans ménagement celles qui sont impliquées à mort dans les paradis fiscaux et les opérations douteuses (pour les noms, suivez mon regard). (...)