
2/12 Cette enquête majeure se découpe en cinq articles : un article graphique, qui offre une synthèse facile d’accès des quatre articles plus détaillés sur les différents aspects couverts, à Haïti, en France et aux Etats-Unis. pic.twitter.com/JpaA4m0DuN
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4/12 La triple dette : Haïti doit verser une somme exorbitante (1ère échéance = 6 fois ses recettes en 1825). Pour payer elle est forcée d’emprunter à des banquiers français qui se servent au passage. Et pour parer le risque d’invasion, elle dépense + ds l’armée que ds son dvpt.
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6/12 Article 3 : entrée des Etats-Unis, qui prennent le relai de la France. D’abord financier, puis très vite militaire, pour une occupation de 20 ans (1915-1934), meurtrière, humiliante, coloniale en acte sinon en droit.https://t.co/tunFxdXOXV
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8/12 « M. Burkard, l’ambassadeur français de l’époque (…) reconnaît également, une première pour un responsable français, que la France et les États-Unis ont orchestré “un coup” contre M. Aristide en le poussant à quitter le pouvoir et à s’exiler. » pic.twitter.com/X8ph77e6l6
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10/12 La note en question
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12/12 La France est partie à cette histoire. Ô combien, du 17è siècle au 21è siècle. Alors que le bicentenaire de 1825 approche, ce passé ne peut plus être occulté, ni ses conséquences esquivées.
FIN
(à suivre !)— Fondation pour la mémoire de l'esclavage (@fondation_me) May 21, 2022