
1900, les « ventres jaunes » de l'usine de coutellerie du Creux de l'Enfer à Thiers. Ces émouleurs travaillaient couchés au-dessus des meules, avec parfois un chien allongé sur leurs jambes pour leur tenir chaud. pic.twitter.com/lbAzOeWQnp
— Suave Morbida (@Maitre_Poulard) October 10, 2022
Quand à la position, si elle paraît confortable au premier abord, elle était en fait extrêmement pénible et source de pathologies multiples.
— Lucane (@nicosp46) October 10, 2022
Photo d’archive Manufacture Dozorme
Trouvée sur https://t.co/Mq5cyUb39X— Suave Morbida (@Maitre_Poulard) October 10, 2022
C'était aussi la position de travail des polisseurs de pierres semi précieuses, améthyste, agathe. .. comme à la taillerie de Royat.
— Claire Lebouteiller (@lebouteillercl3)
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Les ventres jaunes
« Ces ouvriers, mariés à leur planche plus qu’à leurs femmes, ont donné à la coutellerie de Thiers sa renommée internationale et légué à l’Auvergne l’un de ses plus beaux emblèmes : le Laguiole »*.
En se détachant des meules, la poudre de grès recouvre de poussière jaune les hommes. Jean Anglade en racontant leur histoire dans Les Ventres jaunes, ressuscite les gestes et la grandeur des émouleurs qui fabriquent des lames de couteaux de manière artisanale. (...)