
D'abord dire les noms de ceux qui ont été tués. Les rappeler a d’autant plus d’importance qu’ils sont souvent occultés : quand on se souvient de ce 14 juillet sanglant on ne retient en général que celui de Maurice Lurot, métallurgiste militant de la CGT, et l’oubli en est redoublé
— Ludivine Bantigny (@Ludivine_Bantig) July 14, 2022
Dans les mois précédents, des attaques policières contre des Algériens avaient eu lieu au Havre, à Montbéliard, à Charleville, à Anzin, à Valenciennes, à Orléansville, à Oran… Huit ans après les massacres de Sétif, Guelma et Kherrata. Une banalisation de la violence coloniale
— Ludivine Bantigny (@Ludivine_Bantig) July 14, 2022
Il faut le reconnaître : la revendication cruciale qui a valu le déchaînement de la répression, l’indépendance de l’Algérie, est tue dans la presse de gauche. Deux exceptions seulement : Libération et L’Observateur – où Claude Bourdet ne fait pas mentir sa réputation d’intégrité.
— Ludivine Bantigny (@Ludivine_Bantig) July 14, 2022
Ce soir le film de Daniel Kupferstein, Les balles du 14 juillet 1953, sera projeté en plein air à Nanterre : à 22H.
On pourra lire aussi le billet de Gilles Manceron
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— Fabrice Riceputi (@campvolant) July 14, 2022