
compte tenu des trop nombreux dysfonctionnements actuels :
-le manque de confiance instauré avec les services de l’Etat où les discours sont sans cesse démentis par les actes sur le terrain
-les harcèlements et acharnements dont sont victimes les migrants que ce soit dans leurs lieux de "survie" ou près du BCMO durant les heures d’entrée et de sortie, voire même à la grille du lieu de distribution de repas.
-la confiscation et destruction des affaires personnelles des migrants y compris certains papiers retrouvés à la déchetterie et au commissariat de police ainsi que leur matériel de survie y compris durant les périodes de plan grand froid niveau II.
-la non attribution de la « domiciliation » pour l’association
– et bien évidemment d’autre part, au regard de la politique nationale de diabolisation des migrants et notamment l’envoi d’un second charter vers Kaboul inacceptable dans ce pays en guerre !