
Pendant que la rue se déchaînait, le Parlement grec sous majorité “socialiste”, a adopté le nouveau plan budgétaire pluri-annuel d’austérité imposé par la troïka infernale : Union européenne (UE), Fond monétaire international (FMI), Banque centrale européenne (BCE).
Le motif invoqué : éviter la faillite du pays, la désintégration de l’UE et la contamination systémique à l’ensemble de la planète.
Le résultat attendu : une “aide” européennes de quelques 110 milliards d’euros, une bouffée d’air pour les banques privées et la BCE à l’agonie… plus un report artificiel de l’incontournable échéance finale.
Les sacrifices supplémentaires imposés à une population grecque à bout de force et de patience ne servent évidemment à rien, sinon à rajouter à la souffrance et à l’humiliation nationale.
Tout juste sont-ils l’expression d’un sauve-qui-peut précipité, pathétique, d’une panique incontrôlée où les plus forts piétinent les plus faibles… avant d’être précipités dans les flots.(...) Wikio