
Cri d’alerte du FMI mardi 20 avril : la dette publique est en passe de relancer la crise financière mondiale. Évidemment, c’était gros comme le nez au milieu de la figure. Et il n’y avait que le pif imbu des “spécialistes” à la godille pour ne pas (vouloir) le flairer à temps.
L’économie et sa petite cousine la finance (assez odieuse en ce moment), fonctionnent selon le principe des vases communiquants. Les déséquilibres ne peuvent espérer longtemps y perdurer. Et les hauts cris de l’insupportable cousine n’y feront rien.
Le système, un chien fou qui se mord la queue...
...Malin, le FMI a vu venir le danger : « La demande croissante du secteur public risque d’évincer le secteur privé du crédit. »...
Or, dans le système néolibéral, le crédit, c’est le nerf de la guerre. Pas de crédit, pas de consommation. Pas de consommation, pas de croissance. Et pas de croissance, plus de système. Le cercle infernal de la Grande Crise, quoi !