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Greek crisis
EXIT
Article mis en ligne le 2 juillet 2016
dernière modification le 30 juin 2016

Il est grand temps d’en finir avec l’Union Européenne. Son projet irrationnel n’est pas comme on s’amuse à dire parfois, “anti-démocratique par accident”, il est tout simplement totalitaire et cela même par essence. Le Brexit - pas encore accompli, faudrait-il alors le rappeler ? - n’est qu’un début, sauf que la “Paneuropa” ne se laissera certainement pas abattre si facilement. Cependant... l’espoir revient, d’ailleurs, en dépit des analystes mainstream et des politiciens bien de chez nous et... qui feraient mieux de se taire

(...)Nous avions débattu de tout cela en direct depuis le studio de la Radio du Pirée 90.1 FM dans la nuit du mercredi 23 au jeudi 24 juin et nous avons exprimé notre certitude quant à la victoire du Brexit. Lors de l’émission, il a été ouvertement question du totalitarisme de l’Union Européenne, ainsi que de ce son “nazisme bleu” que les peuples de l’Europe doivent alors abattre sans trop tarder. En annalistes et en écrivains d’hier et autant d’aujourd’hui, nous entrevoyons parfois assez clairement les fentes du temps humain qui est le nôtre.

Hors microphone, nous avons également évoqué ce récent sondage, resté suffisamment confidentiel et réalisé auprès d’un échantillon réel de douze mille personnes en Grèce, dont les résultats sont enfin sans équivoque : en cas de référendum similaire à celui organisé en Grande Bretagne, les Grecs préféreraient la sortie de l’Union Européenne, à plus de 55% à 58%. Les élites européistes lesquelles auraient financé l’organisation de ce sondage et d’ailleurs bien d’autres cercles à Athènes, n’ignorent pas, que chez les peuples, et particulièrement chez les Grecs, les Français, les Italiens, les Suédois, les Hongrois... la prise de conscience est désormais telle, l’escroquerie européiste ne passe alors plus du tout.

Certes, les pires inepties sont prononcées depuis quatre jours, de la bouche des politiciens marionnettes à l’instar d’Alexis Tsipras qui se déclare être enfin l’ardent défenseur “d’une construction européenne... sociale”, peine perdue. (...)

“C’est un jour maudit, je le considère ainsi en tout cas, ce 21 décembre 1978 où, soi-disant, nous avons réussi notre adhésion en qualité de membre à part entière au sein de la CEE. Nous le regretterons très amèrement c’est certain, sauf qu’il ne nous sera plus possible de nous en défaire. Les liens économiques sont encore plus solides que les alliances militaires, entre les pays. (...) Ces affaires ne sont pas faites pour nous, elles ne s’accordent guère avec notre histoire, ni avec le caractère de notre peuple. Ni même, avec la situation réelle de la Grèce en ce moment. Nous serons effacés en tant que pays, en tant que nation. Et ce n’est pas parce que d’autres perspectives ne sont pas suffisamment en vue, qu’il va falloir nous engouffrer dans cette voie (...)”, écrivait Yórgos Ioánnou dans son Fylládio en 1979 (une sorte de revue... “proto-blog” entièrement rédigée par l’auteur). (...)

Il est grand temps d’en finir avec l’Union Européenne. En attendant... la guerre fera rage, mensonges, manipulations, “étranges” assassinats insérés dans le... calendrier politique et électoral (de la malheureuse Jo Cox, cette députée travailliste pro-UE de 41 ans, assassiné une semaine avant le referendum), attentats islamistes ou “islamistes”, tentatives de disloquer au besoin certains pays, en plus de la mécanique sociale bien rodée, celle de la peur et du chaos tout azimut.

Il va falloir tenir...