
Jayaprakash Satyamurthy avec son récit et son usage particulier de la langue, réussit à rendre plus que palpable ses personnage dont une femme et un homme Il met en mots le refus des assignations et de leurs inscriptions corporelles, « C’est plus facile dans la chair d’un garçon. C’est pourquoi elle a cessé de penser, non sans hésitation, aux garçons dont elle aime peut-être la chair pour se consacrer aux garçons dont elle aimerait porter la peau (pas ((?)) littéralement) », les chaînes de la vie et les moyens de les briser, le visible et le souhait de se rendre invisible, la « peluche culturelle qui s’accroche à un cerveau après l’autre », le fondamentalisme et ses effets, les petits gestes de résistance au quotidien, les bénéfices de la masculinité, les effets de la parole, « Maintenant, ils ont parlé. Elle a une meilleure idée des perspectives »…
C’est pourquoi elle a cessé de penser, non sans hésitation, aux garçons dont elle aime peut-être la chair pour se consacrer aux garçons dont elle aimerait porter la peau (pas ((?)) littéralement) », les chaînes de la vie et les moyens de les briser, le visible et le souhait de se rendre invisible, la « peluche culturelle qui s’accroche à un cerveau après l’autre », le fondamentalisme et ses effets, les petits gestes de résistance au quotidien, les bénéfices de la masculinité, les effets de la parole, « Maintenant, ils ont parlé. Elle a une meilleure idée des perspectives »… (...)