
Plus de 3 000 juifs, 2 000 fugitifs de toutes sortes furent sauvés par toute la communauté du Chambon-sur-Lignon. En particulier, Magda Trocmé fut reconnue Juste parmi les Nations en même temps que son mari. pic.twitter.com/EcyIbv6L5S
— Paroles de Combattants de la Libération (@paroles_la) September 14, 2021
Et Daniel Trocmé, leur neveu, qui n'a pas voulu abandonner ses élèves quand ils ont été arrêtés, a été déporté et est mort à Maïdanek en 1944 à 32 ans.
— Vergniol (@vergniol) September 14, 2021
Je sais que @laurentwauquiez est très attaché à cette commune du Chambon sur Lignon. Une commune où les habitants s'étaient très fortement mobilisés pour sauver des vies.
Je vous conseille d'ailleurs la lecture de " Les enfants des Justes" de Christian Signol. Bouleversant. pic.twitter.com/PpzVRq6EXU— 🇫🇷De droite 🚵🏍🏉 #FF/ LW/ BR/FxB 🇫🇷 (@Mouleyre117) September 14, 2021
Lire aussi :
(...) « Un notaire de la banlieue lyonnaise a appelé notre maire il y a à peu près 3 semaines. Erich Schwam n’a pas eu d’enfants. C’était un monsieur très discret et il ne souhaitait pas beaucoup de publicité à propos de son geste. On sait peu de choses sur le donateur mais on a fait des recherches. On sait qu’Erich Schwam a vécu toute sa vie d’adulte à Lyon et dans la banlieue lyonnaise. Il a fait des études de pharmacie. Il a épousé une Lyonnaise en 1956, date à laquelle il a été naturalisé français. Il a mené une vie très discrète de pharmacien de laboratoire ».
Une enfance pendant la guerre
Elle poursuit : « Il y a un peu moins d’une dizaine d’années, il était venu voir la maire de l’époque, madame Wauquiez, et il avait fait part de son intention de léguer quelque chose à la commune. Mais après, on n’a plus eu de nouvelles. Il n’avait pas de relations avec des personnes du Chambon. Il a été très discret. Il est décédé en décembre dernier ». Petit à petit, on a pu retrouver la trace du passage d’Erich Schwam en Haute-Loire. Denise Vallat raconte (...)