Bandeau
mcInform@ctions
Travail de fourmi, effet papillon...
Descriptif du site
conscience citoyenne responsable
CHAVEZ POUR TOUJOURS
Article mis en ligne le 8 mars 2013

Un des facteurs principaux de la popularité de Chavez est la réduction de la pauvreté, qu’a rendue possible le retour dans le giron de l’État de la compagnie nationale pétrolière PDVSA.

De fait, ses ressources abondantes, au lieu de bénéficier à une petite classe de rentiers comme c’était le cas sous le gouvernement précédent, ont permis de construire les infrastructures nécessaires et d’investir dans la création de services publics dont les vénézuéliens avaient un cruel besoin.

Le Venezuela est à présent le pays de la région qui connaît le plus bas niveau d’inégalité (mesuré par le Coefficient Gini) : il a réduit l’inégalité de 54%, la pauvreté de 44%, du niveau de 70.8% (1996) à 21% (2010). Et l’extrême pauvreté est passée de 40% (1996) à 7.3% (2010). A l’heure actuelle 2.1 millions de personnes âgées perçoivent des pensions de vieillesse, soit 66% de la population. Seules 387.000 personnes recevaient des pensions avant le gouvernement actuel.

Le gouvernement bolivarien a mis un accent particulier sur l’enseignement. L’UNESCO a reconnu que l’analphabétisme a été éliminé et le Venezuela est le troisième pays de la région dont la population lit le plus. L’éducation est gratuite, des classes maternelles jusqu’à l’université. Le Venezuela occupe la deuxième place latino-américaine et la cinquième place mondiale en proportion d’étudiants universitaires. Il est intéressant de noter que le Venezuela se trouve maintenant au même niveau que la Finlande en tant que cinquième pays avec la population la plus heureuse du monde. Et, alors que plusieurs pays reviennent sur les acquis sociaux des secteurs les plus défavorisés, le Venezuela au contraire leur octroie encore plus de protection.

Avant le gouvernement Chavez, en 1998, 21% de la population était mal nourrie. Tandis qu’en 1980, 90% de la nourriture était importée, aujourd’hui on en importe que 30%. En 1998, avant la révolution, la production annuelle d’aliments était de 13 millions de tonnes. Elle atteint aujourd’hui 24 millions, soit près du double. Un des objectifs de la révolution bolivarienne est la souveraineté alimentaire

De nombreux quartiers pauvres n’avaient jamais vu un médecin, maintenant la présence des médecins cubains est une autre évidence. Cuba envoie des médecins, Chavez paie en pétrole, et cela ne plait pas aux marchés financiers ! D’autant plus que son projet de banque du sud pour le développement de la région affaiblit le pouvoir du cartel que constituent le FMI et la Banque mondiale. (...)