
Dernière parution... de notre cahier du Sud pour 2017 depuis ce pays des oliviers. Notre supposé comptage calendaire marquera sa pause, toujours si bien calculée entre nos temporisations humaines, puis il reprendra son cours. Temporalité dite de crise, et en réalité, longue urgence qui persiste, voilà que ce blog n’émettra plus de bilan de fin d’année. Sinon... et plus terre-à-terre (c’est vraiment l’expression), très... beau réveil vers 6h ce matin du 31 décembre 2017. Un séisme a secoué Athènes, notre Mimi et notre Hermès se sont également et aussitôt levés de leurs... lits, sans plus d’inquiétude il faut dire. Preuve s’il en faut de l’évidence d’une... certaine intelligence naturelle malgré tout !
Temporalité dite de crise, et alors longue urgence qui persiste. Ceux que le destin à voués à l’écart dans nos pays sans travail, pays pourtant encore hier rêvés et dont leurs prismes façonnaient autant leurs imaginaires, tout ce beau et... bas monde lira dans la presse, au demeurant plus électronique que jamais, que par exemple, l’avènement de l’intelligence sera désormais artificiel... ou il ne sera pas.
À minuit, nous autres voyageurs du sens (peut-être même accusés de faire immodérément preuve de passéisme outrancier aux yeux de certains), nous nous souhaiterons réciproquement la bonne année et ensuite nous nous coucherons en attendant le vent, qui finira par se lever au matin du 1er janvier, comme toujours avec le soleil. En attendant, nous aurons pu contempler les nuages sur le Péloponnèse proche, et ses villages pratiquement vidés de leurs habitants... mais encore, à l’huile d’olive véritable ! (...)